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R.P. Bernard-Marie de Chivré

Le verbe incarné – (2ème partie) Carnets spirituels N°77

Prédications

Editorial de l'abbé Simoulin.

Deux carnets vont être consacrés au plus grand de nos mystères : le Verbe Incarné. Le Père est revenu souvent sur les textes de saint Jean, l’apôtre bien-aimé, celui que nous pourrions aussi nommé le fils de Marie. Jésus Lumière – Jésus Parole – Jésus Vie – Jésus Eucharistie… tout le mystère de notre salut révélé en Jésus, bellement commenté par le Père.

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Sommaire :

Editorial
Le problème de Dieu
"Jamais homme n'a parlé comme cela"
"Spiritus qui vivficat"
"Nul n'est prophète en son pays"
"Nunc clarificatur est Filius hominis"
"Sequere me"
Devenir ou changer
Engendrer
La paganisation de la vie spirituelle
Maintenant le Fils de l'homme est glorifié
Etincelles

L'auteur : R.P. Bernard-Marie de Chivré

1902-1984. Le Père Bernard-Marie de Chivré aura été, comme le Père Calmel, l’image exemplaire d’un religieux dominicain ayant subi une continuelle persécution ecclésiastique pour sa fidélité.
Fidèle aux traditions et à la vocation de son Ordre ; fidèle à la théologie du Docteur commun de l’Église, saint Thomas d’Aquin ; fidèle à la dévotion dominicaine à la Vierge Marie, fidèle au chapelet, le P. de Chivré a été persécuté surtout pour son inébranlable fidélité, dans le rite dominicain, à la messe catholique traditionnelle, latine et grégorienne.
Avant d’être persécuté pour sa fidélité à la messe, le P. de Chivré était déjà mortellement suspect pour son amitié militante à l’égard d’Itinéraires la revue de Jean Madiran.
Cette longue amitié militante a commencé avec la naissance de la revue, et le P. de Chivré l’a maintenue jusqu’à sa mort. C’était une grande partie de sa pensée, de sa préoccupation, de sa sollicitude, de sa vie.