Jean-François Peroteau
Le singe descend de l'homme
Ou la création progressive et l'évolution régressive
S’il est facile de descendre, dégénérer, détruire, il est très difficile de monter, progresser, construire ; la vie, la nature, l’expérience le prouvent quotidiennement.
Le singe descend de l’Homme, voilà un titre qui surprend, étonne, provoque ; et pourtant, si l’on calcule la probabilité de la descendance d’un singe à partir de l’homme supposé parfait, et qu’on la compare à celle de l’ascendance de cet anthropoïde vers le primate pensant, on s’aperçoit que la première l’emporte sur la deuxième. Des décennies, en effet, dans des centaines de laboratoires du monde entier, tous les efforts déployés pour trouver une seule preuve du transformisme progressif ont été voués à l’échec.
On n’a jamais obtenu une seule espèce nouvelle chez les centaines de mutants de la mouche du vinaigre Drosophila Mélanogaster.
Les bactéries mutent à profusion, mais le plan bactérien est demeuré inchangé depuis leur origine. Seule, l’évolution régressive est possible, réalisable en laboratoire.
Les mutations géniques et chromosomiques n’ont pu faire apparaître un organe nouveau, car le temps et la place manquent.
Fiche technique
- Parution
- 2000
- Nombre de pages ou Durée
- 320
- Hauteur
- 24
- Largeur
- 16
- ISBN
- 9782865580408