Dora Moutot & Marguerite Stern
Transmania - Enquête sur les dérives de l'idéologie transgenre
Bienvenue dans un monde où Robert devient Catherine. «Homme enceint ?», « non-binaire ?», «iel ?», «changer de sexe ?», «naître dans le mauvais corps ?», «transgenre ?», ces termes envahissent notre quotidien. Trans par-ci, trans par-là, partout c'est la transmania !
BOULEVARD VOLTAIRE, 2024 :
À l'occasion de l'été, BV vous propose de redécouvrir les grands entretiens que nous ont accordés des invités de marque. Aujourd'hui, Dora Moutot et Marguerite Stern.
Pourquoi tant de haine ? Depuis la publication de Transmania. Enquête sur les dérives de l'idéologie transgenre, numéro 1 des ventes à la FNAC et sur Amazon, Marguerite Stern (ex-Femen et réalisatrice de podcast) et Dora Moutot (journaliste et auteur) sont ciblées par des menaces, harcèlements, poursuites en justice et insultes en tout genre. Même les municipalités de Paris et de Lyon ont fait pression sur le publicitaire pour en interdire la campagne de promotion. L'ouvrage en forme d'enquête plonge le lecteur à travers l’itinéraire de Robert, militant soixantenaire, qui, parce qu’il se sent femme, décide de changer de sexe, dans l’univers d’un lobby qui s’infiltre partout : école, entreprise, lois et institutions internationales. Et, manifestement, ça dérange !
- À ce sujet — Transmania, le livre que la mairie de Paris veut interdire de publicité !
Avec cette liberté d’expression si chère à BV, Dora Moutot et Marguerite Stern se livrent sans tabou.
BREIZH INFO, Y.V. 2024 :
Transmania (Stern-Moutot) cartonne malgré la censure. « Les parents doivent absolument préserver leurs enfants de cette idéologie qui a le vent en poupe sur les réseaux sociaux »
Avoir la mairie de Paris et la Fnac contre soi n’est pas un gage d’échec, bien au contraire. Ainsi le livre « Transmania » signé Dora Moutot et Marguerite Stern, qui est une enquête fournie sur les dérives de l’idéologie transgenre, cartonne sur Amazon, qui devient, pour connaitre le succès d’un livre, une plus cohérente référence qu’un tweet de Jean-Luc Roméro [...]
GENETHIQUE, 2024 :
Les mots sont parfois crus et le ton provocateur, un style non sans humour destiné à interpeller et probablement aussi la conséquence de la violence subie par les autrices, comme de leur sidération face au phénomène qu’elles ont pénétré. Mais il n’est pas « transphobe ». Reprenant la philosophe Jane Clare Jones, elles expliquent : « Nous ne débattons pas de si vous existez. Nous débattons de si vos croyances métaphysiques sur l’identité de genre doivent devenir la base de la loi et des politiques publiques, en effaçant la reconnaissance politique du sexe et l’existence des femmes comme une classe spécifique dans le droit. »
Dora Moutot et Marguerite Stern ont mené une enquête très approfondie le « phénomène transgenre ». Les deux femmes n’éludent aucun sujet, faisant preuve d’une grande ouverture d’esprit. Elles explorent les origines, y compris philosophiques, du phénomène, son évolution ces dernières années, les aspects médicaux et le rôle des médecins, la question des mineurs, des détransitionneurs, des personnes « intersexes », le développement des lobbies, les intérêts financiers, les aspects règlementaires, politiques, et même le lien avec le transhumanisme. Dora Moutot et Marguerite Stern ne cèdent pas à la pression, refusant l’idéologie qu’on veut imposer à la société, « un des plus gros casses conceptuels du siècle ».
Avec des arguments et des faits, elles refusent « la distorsion du réel », elles refusent de « renoncer à la clarté ». « Une génération entière est en train de grandir avec l’idée que tout est flou et relatif ; que toutes les idées se valent ; qu’il suffit de déclarer une chose pour qu’elle existe », dénoncent-elles. Avec quelles conséquences pour demain ?
LIBERTE POLITIQUE, 5 juillet 2024 : Transmania : le projet politique du transsexualisme
POLEMIA, juillet 2024 :
La journaliste Dora Moutot et l’ex-Femen Marguerite Stern constatent avec effarement que le féminisme, sous couvert de défense des droits d’une minorité opprimée, a désormais glissé vers une inquiétante « frénésie trans ». Depuis quatre ans, ces féministes revendiquées, qualifiées de TERFs (acronyme de « Trans-Exclusionary Radical Feminists ») par des militantes radicales qui leur reprochent d’exclure leurs « sœurs à pénis », subissent insultes et menaces quotidiennes parce qu’elles osent soutenir que « les femmes sont des femelles ». Transmania – Enquête sur les dérives de l’idéologie transgenre propose une véritable plongée dans le monde complexe de la transsexualité. En avril dernier, la mairie de Paris a obtenu que les affiches publicitaires du livre soient retirées, tandis que des libraires préféraient ne pas le présenter au public.
La biologie comme socle. Tout a commencé quand des « femmes trans » ont prétendu expliquer aux féministes ce que voulait dire être une femme. Dans leur livre, Dora Moutot et Marguerite Stern répondent à Robert, un personnage fictif devenu Catherine : « Tu auras beau te tartiner de gels à base d’œstrogènes toute la sainte journée, les 60 000 milliards de cellules qui te composent porteront toujours la marque de ton sexe : le chromosome sexuel Y. » Les réalités biologiques étant incontournables, elles réfutent l’idée du sexe comme simple construction sociale, de même que toutes les justifications reposant sur une analogie avec des poissons et des insectes capables de changer en fonction de leur environnement : « Tout notre organisme est sexué, tous nos organes, cerveau y compris », à l’exception des cas rarissimes de personnes intersexuées présentant les caractéristiques des deux sexes.
Des contribuables généreux. Les militants trans revendiquent un choix de vie et s’opposent à ce qu’on les considèrent comme des malades, tout en exigeant le remboursement d’interventions chirurgicales très onéreuses pour la collectivité. Depuis 2009, le transsexualisme a été dé-psychiatrisé par Roselyne Bachelot, alors ministre de la Santé. L’année suivante, l’intéressée a encore « volé à leur secours en ajoutant le “trouble de l’identité de genre” à la liste des affections de longue durée dite “hors liste” ».
SUD RADIO, Le face à face Par André Bercoff avec Dora Mouhtot
LE FIGARO : Dora Moutot et Marguerite Stern: à la croisée des féminismes
Leur livre, Transmania, enquête critique sur le militantisme transgenre, est un succès de librairie. Et leur vaut menaces et mises au pilori, sur fond de polémiques. Il y a quelques semaines encore, Dora Moutot et Marguerite Stern étaient uniquement connues par un cercle restreint de féministes et d’activistes… mais la parution, en avril, de leur livre, Transmania, enquête sur les dérives de l’idéologie transgenre (Magnus), les a fait sortir de ce relatif anonymat. Pour le meilleur et pour le pire.
- Le meilleur : cet ouvrage caracole parmi les meilleures ventes sur Amazon et s’est également placé à la huitième place du dernier classement Le Point-Meilleures ventes de la Fnac. Un succès probablement dû en partie à la polémique qu’il a suscitée dès sa parution et à la décision de la mairie de Paris de demander à JCDecaux de retirer les affiches faisant la promotion du livre dans les rues de la capitale.
- Le pire: les deux jeunes femmes ont été menacées de mort à plusieurs reprises, notamment, dimanche, lors de manifestations organisées contre la transphobie dans toute la France (ce qui leur a valu le soutien de J. K. Rowling, l’auteur de la célèbre saga Harry…
LE JDD, Propos recueillis par Aziliz Lecrorre, 19 avril 2024 :
« La censure que nous subissons est une démonstration de la "Transmania" que nous dénonçons » ENTRETIEN. L’afficheur JCDecaux a annoncé retirer les affiches publicitaires du livre « Transmania », une enquête sur les dérives de l’idéologie transgenre, publié aux éditions Magnus, après la demande de la Mairie de Paris. Les deux essayistes, Dora Moutot et Marguerite Stern, dénoncent un régime de terreur.
Bienvenue dans un monde où Robert devient Catherine. «Homme enceint ?», « non-binaire ?», «iel ?», «changer de sexe ?», «naître dans le mauvais corps ?», «transgenre ?», ces termes envahissent notre quotidien. Trans par-ci, trans par-là, partout c'est la transmania ?!
En France, il est possible d'être légalement reconnu comme femme tout en ayant un pénis. Des hommes se disant femmes remportent des compétitions sportives féminines dans le plus grand des calmes. Des hôpitaux se livrent à des expérimentations médicales sur des enfants dans le but de les faire «changer de sexe ?». Et tout incrédule évoquant la binarité des sexes est traîné dans la boue.
C'est l'histoire de l'un des plus gros casses conceptuels du siècle que nous allons te raconter : l'idéologie transgenre est en train de s'infiltrer dans toutes les sphères de la société. Elle se présente comme un simple mouvement pour les droits d'une minorité opprimée, pourtant, derrière les paillettes, se trouve un projet politique néfaste qui s'apprête à bouleverser notre rapport au réel...
Fiche technique
- Reliure
- Broché
- Parution
- 2024
- Nombre de pages
- 398
- Hauteur
- 21.5
- Largeur
- 14
- Épaisseur
- 3.5
- Poids
- 0.500 kg
- ISBN
- 9782384220403