Evolution Dévolution Science

   En 1980 déjà, lors d’un congrès tenu par les évolutionnistes à Chicago, les paléontologues ont admis que la « stase » domine dans les collections fossiles : La persistance des espèces selon une forme inchangée dans toutes les strates où elles se trouvent.

   La structure de l’ADN des divers organismes ne confirme pas les généalogies qui leur sont attribuées et, dans la structuration de l’ADN, un grand rôle est joué par le transfert horizontal de gènes (HGT) entre les organismes très éloignés dans les classifications. Des virus sont les vecteurs de tels transferts. Ces nouvelles données nous obligent à revoir la notion d’ancêtre commun.

   Des arbres pétrifiés verticaux traversent différentes couches géologiques. Ont-ils attendus des millions d’années que les strates successives les submergent ? Manifestement, ils ont été enfouis lors d’une seule catastrophe. Le grand nombre de fossiles dans les roches sédimentaires signale leur origine cataclysmique.

   « La probabilité que la vie se soit formée par hasard est comparable à celle qu’une tornade balayant une décharge puisse assembler un Boeing 747 à partir des matériaux abandonnés là. » (Fred Hoyle, L’Univers Intelligent, 1983)