- Rupture de stock
Centenaire de la mort de l’impératrice Eugénie, 1826-1920.
L'auteur : "Je n'ai rien inventé. Il y a tant de romanesque dans cette vie jalonnée de coïncidences, signes et prodiges que je n'avais aucune raison d'en rajouter."
Sur l’Impératrice Eugénie on a beaucoup écrit. On a loué sa beauté, son élégance, son courage. On l’a surtout critiquée, et même calomniée, plus que Marie-Antoinette.
« L’Espagnole », la « Badinguette » était le bouc émissaire, responsable de tous les maux qui ont frappé la France jusqu’à la capitulation de 1870.
Mais on parle moins des avancées sociales réalisées pendant ses trois régences comme le développement des systèmes scolaires avec Victor Duruy, l’accès à l’enseignement supérieur pour les filles, l’humanisation du régime carcéral pour les délinquants mineurs…
Rappelons encore que, pour la première fois, c’est par elle qu’une femme fut décorée de la Légion d’Honneur. Ce fut Rosa Bonheur, peintre animalier. On oublie aussi que si la France a récupéré l’Alsace et la Lorraine en 1918, c’est bien grâce à Eugénie qui avait conservé le document capital permettant à Clémenceau d’exiger le retour sans condition des deux provinces perdues.
Débarrassé d’une légende aussi sombre qu’imméritée, voici un nouveau visage d’Eugénie de Montijo, reconstitué à partir de documents d’archives, de très nombreuses correspondances privées, d’entretiens et de témoignages. Geneviève Chauvel contribue, à sa manière, à l’envoûtante réhabilitation d’une femme d’exception, trop souvent méconnue ou incomprise.
537
Fiche technique
- Reliure
- Broché
- Parution
- 2014
- Nombre de pages ou Durée
- 400
- Hauteur
- 24
- Largeur
- 15.5
- ISBN
- 9782704812486
Vous aimerez aussi