Traduction de Lorène Collins.
LES LIVRES D'ANTOINE, janvier 2022 : lire l'article en entier
Les lecteurs de ce blogue connaissent déjà Wilkie Collins et son excellent Passion et Repentir. La Dame en blanc est de la même veine, peut-être mieux maîtrisée encore. L
es rebondissements sont multiples et la forme du récit particulièrement originale : les différents protagonistes racontent successivement leurs aventures tout en respectant la chronologie des évènements afin que l’incertitude soit complète jusqu’au bout. C’est tout à fait réussi. Considéré par les Anglais comme l’inventeur du roman policier, Wilkie Collins connut un grand succès et sa redécouverte récente est particulièrement heureuse.
Un livre, une fois commencé, qu’on ne lâche plus.
Dans la fournaise de l’été, en ce milieu du XIXe siècle, William Hartright, jeune professeur de dessin émérite, s’apprête à quitter Londres pour enseigner l’aquarelle à deux jeunes filles de l’aristocratie, dans le Cumberland. Il laisse derrière lui la vie trépidante de la ville et ses étranges incidents, comme cette rencontre en pleine nuit avec une jeune femme terrorisée, toute de blanc vêtue, semblant fuir un invisible danger… Mais la campagne anglaise, malgré ses charmes bucoliques, n’apaise pas le jeune William autant qu’il le souhaiterait. La demeure de Limmeridge recèle en effet de bien lourds secrets, et lorsque resurgit la mystérieuse dame en blanc, il est bien difficile d’affirmer qu’il ne s’agit pas d’un présage funeste…
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Fiche technique
- Reliure
- Broché
- Parution
- 2010
- Nombre de pages
- 476
- Hauteur
- 18
- Largeur
- 11
- Épaisseur
- 2.2
- Poids
- 0.300 kg
- ISBN
- 9782702435014