A travers ses essais ou ses rares romans, sous son nom ou sous pseudonyme, Martin Peltier qui fut un journaliste de combat et le reste, ne se pose au fond qu'une question, celle de la vérité ultime : qui suis-je, qui sommes-nous, quel est en nous et pour nous le plus important, et comment le défendre ? ».
POLEMIA, Jean-Yves Le Gallou, juin 2019 : lire l'article en entier
La fin de l’homme blanc est le titre du dernier livre de Martin Peltier. Un titre un peu mystérieux qui mérite d’être explicité… Car il ne s’agit ni d’un livre catastrophe – encore que – ni d’une fiction apocalyptique. Ce n’est ni Le Camp des Saints, ni La Mosquée Notre-Dame de Paris. Ce n’est pas davantage un essai sur le Grand Remplacement. Non, c’est un roman. Un roman historique qui se déroule à l’aube du XXe siècle. Un essai historique
Le décor de la Belle époque était truqué. L'appétit de vivre, le raffinement, un étonnant progrès scientifique et technique, masquaient mal les terribles conflits qui agitaient la France, l'Europe et la planète. A Paris et dans le monde, un groupe de jeunes gens tâche d'y survivre et d'y vivre, la belle et libre Hortense, Jean, le journaliste, Jacques, le marin, Nicolas le jeune russe cosmopolite, Egon, le Juncker philosophe. L'intensité même de leurs illusions les mènera dans le mur, ou plutôt au naufrage, puisque la lumière du désastre de Tsou Shi Ma éclaire la fin de ce terrible roman historique.
1905 amène 1914 et 1917, la guerre et la révolution d'où sortira la fin de l'homme blanc. Perdue dans l'histoire, l'héroïne éprouve la terrible angoisse des civilisations mort-vivantes : se trouver niées et calomniées par leurs héritiers.
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Fiche technique
- Reliure
- Broché
- Parution
- Octobre 2018
- Nombre de pages
- 320
- Hauteur
- 23
- Largeur
- 14.5
- Épaisseur
- 2.8
- ISBN
- 9782914295352