Les gardiens du papyrus

• Une dystopie fascinante et spirituelle
• Un bonheur de lecture intelligente

   Avec sa plume élégante, pleine de générosité et d’humour, Anne Kurian nous entraîne dans un nouveau monde d’une richesse inouïe et une aventure palpitante. 

   COUP DE COEUR 123 LOISIRS, Valérie d'Aubigny, novembre 2021 : lire l'article en entier

   Une fiction puissante, des péripéties prenantes, des réflexions incisives dans un roman subtil, au style très agréable. Dépaysement, surprises et réflexion garantis !

   LE MAGAZINE ZELIE, Marie-Antoinette Baverel, juillet/août 2021 : 

   Le « monde ancien » n’est plus, nous sommes quelque part dans le futur, à une époque où les catastrophes écologiques ont fait table rase du passé. La technologie a disparu, mais Dieu est également banni. Les survivants vivent au contact de la nature ; le mal n’a pas disparu pour autant. Sur Narval et sa sœur Lophura pèse une étrange prophétie, laissée par leurs parents, qui sont morts de façon mystérieuse dans leur enfance. Ils doivent trouver un trésor caché, témoin des temps anciens : un papyrus aux inscriptions grecques... Avec leur ami Marlin, il se mettent en quête, pourchassés par les Alphas, des chefs qui veulent éliminer ce trésor gênant. Ce roman initiatique à dimension chrétienne rappelle, par son ambiance sauvage et puissante, tantôt énigmatique, tantôt humoristique, l’univers de Tolkien.

   Si on peut regretter que l’intrigue débute un peu tardivement et que le récit aurait pu être plus complexe et touffu, c’est parce que ce roman dystopique entraîne le lecteur dans des chemins inattendus et palpitants.

   LA BIBLIOTHEQUE IDEALE, juin 2021 :

   Un titre bien énigmatique et une couverture qui m’avait tapée dans l’oeil : combo gagnant pour que je me jette sur « Les gardiens du Papyrus » de Anne Kurian ! Je l’ai littéralement DÉ-VO-RÉ hier, tournant les pages les unes après les autres sans m’arrêter. J’ai adoré ce récit de science-fiction, cette dystopie écologique et humaniste passionnante, remarquablement écrite et ficelée ! On y retrouve tous les codes du genre et même plus puisqu’il s’agit d’un roman chrétien : dans cette civilisation post-apocalyptique, au sein de cette société qui a rejeté les excès de la modernité pour retrouver un lien vrai et pur avec la Nature, que reste-t-il du Christ et de la foi ? Lorsque Narval, le héros, se retrouve entraîné malgré lui dans une quête qui le dépasse, il est loin de se douter qu’il va devenir le gardien d’un dangereux secret qui pourra le conduire à sa perte… ou au Salut. A lire sans retenue de 15 à 150 ans !