Postface de Alain Sanders
Couverture de Chard
JEAN RASPAIL :
"C'est un livre tout à fait épatant, je me suis plongé dedans avec grand intérêt. Le final, que je vous laisse découvrir, bien sûr, a fait mon bonheur".
BOULEVARD VOLTAIRE - Floris de Bonneville, le 9 juillet 2017 :
A travers la France, les exemples de villages dissidents de la République se multiplient. Le récit se poursuivra jusqu’à la conclusion qui, cher lecteur, ne pourra que vous satisfaire ! Je vous l’avais dit, c’est un peu du Jean Raspail, peut-être pas dans son immense talent d’écrivain, mais dans son anticipation qui avait permis au Camp des Saints de devenir réalité quarante-quatre ans plus tard.
Un roman à dévorer, délicieux car politiquement incorrect, tant nous savourons l’honneur et la fidélité à la France du lieutenant Poignard.
PRESENT DU 25 MARS 2017 - Alain Sanders :
En 1991, vous êtes peut-être quelques-uns à vous en souvenir, nous avions publié avec Serge de Beketch un ouvrage de politique-fiction (encore que…) : La Nuit de Jéricho. Sous-titré : « La révolte du lieutenant Poignard ». Il eut – et notamment grâce à un article élogieux de Jean Madiran en une de Présent – un beau succès.
Un tome II était annoncé. Et en grande partie écrit. Pour des raisons que j’ai expliquées – et d’abord le départ de Serge vers la Maison du Père – il ne parut jamais.
Et puis,... La grande idée de Brigitte Lundi, dont la science mili et le talent d’écriture font mon bonheur, c’est d’avoir inséré dans son récit des flash back qui nous ramènent à Saint-Antoine en 1991, là où Messer, alias le lieutenant Poignard, et ses harkis avaient décrété, face aux lâchetés de l’Etat : « C’est fini, on ne joue plus ! » C’est bon d’avoir des nouvelles de vieux amis…
Ils ne « jouent » pas non plus, les héros de Brigitte Lundi. Mais je vous laisse découvrir ce roman formidable (au sens fort du terme). Vous l’ouvrirez et vous ne le lâcherez plus jusqu’à la toute fin, jusqu’au Mont Saint-Michel que l’on disait jadis « au péril de la mer ». Aujourd’hui, ce sont d’autres périls qui nous menacent. Pour y répondre, des hommes et des femmes qui ne rasent pas les murs. Qui ne baissent pas les yeux. Qui ne font pas repentance. Qui ont des armes. Et qui s’en servent. Ce qui fait toute la différence…
RADIO COURTOISIE - Emission de la résistance, le mercredi 22 février :
"Un roman, "irrigué de foi chrétienne" - Un livre formidable, un scénario d'où se dégage une leçon..." Où l'on y retrouve du Raspail, du Jules Verne...
Il y a quelques années, Alain Sanders et Serge de Beketch signaient un livre de politique-fiction La Nuit de Jéricho. Sous-titré : "La révolte du lieutenant Poignard".
Ils avaient annoncé un tome II : "Ils sont partis mon lieutenant ..." Et puis, pour quelques raisons que Sanders a eu l'occasion de dire, ce tome II n'est jamais paru. Serge de Beketch ayant rejoint la maison du Père, son complice d'écriture n'eut pas la force de continuer sans lui.
Et puis voilà, une jeune femme, Brigitte Lundi, qui s'est lancée dans l'aventure. Une sorte de "Vingt après". Qui nous donne des nouvelles du lieutenant Poignard certes. Mais c'est d'abord un roman qui se déroule de nos jours, dans notre pays au péril de ce que certains ont appelé "le grand remplacement"...
C'est "Jéricho" revisité. Avec une fois encore, des résistants. Qui ne baissent pas les yeux. Qui ne rasent pas les murs. Qui ne sourient pas béatement. Qui parlent peu, mais fort. Qui ont des armes. Et qui s'en servent.
Serge de Beketch aurait reconnu en Brigitte Lundi, notre petite sœur. Elle est des nôtres, en effet.
Un roman ? Plus que ça : un récit qui, comme chez Raspail, préfigure ce qui nous pend au nez. A moins que...