Monsieur le curé fait sa crise

   "... Mordant, tendance saignant, Jean Mercier attaque sur le ton du pamphlétaire, à la Bernanos.

   Mais, au fil des pages, l'auteur révèle sa vraie nature – j'allais dire sa tendresse –, libérant un étonnant talent littéraire tout en laissant entrevoir sa profondeur spirituelle. L'intrigue est rondement menée, et, de rebondissement en surprise, la farce devient fable. Du règlement de comptes, on passe au conte. Riez-vous, un rien crispés ? Voici que ce drôle de petit roman, l'air de rien, vous remue sérieusement, surtout quand il tourne à la réflexion sur le sacerdoce, les sacrements, la miséricorde, la grâce... J.P.D

   LES ECHOS  : "Un air de vaudeville ? Une paroisse ordinaire, un jeune prêtre ordinaire, sur un décor "d'après tempête Vatican II".. Croquées à l'excès, ces tribulations font sourire jusqu'à la disparition du curé... Le ton est plus grave, un prêtre pour qui pour quoi ? le sacerdoce pour qui pour quoi ?... dans cet après Concile où toutes les initiatives pullulent et polluent bien souvent...

Un roman rapide sur un sujet grave, mais tout est dit avec talent ! La fin est à l'auteur, surprenante et bien jouée .... pour ma part je ne voyais qu'une issue...qu'il rejoigne la "Tradition" qui me semble-t-il répondait à toutes ses questions.. Car " la Tradition n'est pas le passé, c'est ce qui ne passe pas" - D. V.

   ZELIE  : « un roman enlevé, drôle et touchant à la fois »

   LA NEF  : « À mesure que l’intrigue de ce roman devenant fable progresse, le lecteur est invité à réfléchir par petites touches, et sans se donner la migraine, sur le sacerdoce, les sacrements, la miséricorde, la grâce. Un bon moment à passer »

   L’HOMME NOUVEAU : « Nous sommes ici au cœur du paradoxe chrétien : pardon et petitesse renversent les montagnes. »