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Reynald Secher
Vendée, du génocide au mémoricide
Mécanique d'un crime légal contre l'humanité
Préface de Gilles-William Golnadel,
Postface de Hélène Piralian,
Postface de Stéphane Courtois.
CHARTE DE FONTEVRAULT L’historien Reynald Secher vient de se voir attribuer le prix littéraire des droits de l’Homme 2012 par un jury présidé par l’écrivain Philippe de Saint-Robert. Ce prix lui sera remis le 17 octobre prochain.
Ce prix, dont il s’agit de la 29e édition, est organisé par Nouveaux Droit de l’Homme (NDH), association fondée en 1977, membre de la Commission Nationale Consultative des Droits de l’Homme. À l’instigation de cette association, 372 députés se sont engagés en 2001 à déposer une proposition de loi pour la reconnaissance de nouveaux droits de l’Homme. Parmi ces parlementaires, l’actuel premier ministre, Jean-Marc Ayrault. (Riposte Catholique)
Après le prix "Combourg-Châteaubriand" remis par le directeur de l'Express le 6 octobre dernier, Reynald Secher a bien reçu le 17 octobre 2012, à Paris le prix 2012 des Nouveaux Droits de l'Homme pour son dernier ouvrage sur le génocide et le mémoricide.
Vendée, du génocide au mémoricide - Mécanique d'un crime légal contre l'humanité Cela s'est passé à l'ambassade de Belgique devant des personnalités du monde politique (dont Vendée), ecclésiastique et des historiens (dont le grand professeur Jean Meyer).
Le Jury qui a décerné ce prix à l'unanimité, s'est déclaré de gauche, mais a reconnu avec une grande honnêteté, que Reynald Secher avait été jusque là souvent mal traité. C'est un point important pour notre cause.
Au sommaire :
- Le génocide
- Ni brigands, ni géants
- La Vendée, un génocide par la loi
- la Vendée, un génocide par "petits bouts de papier".
- Le Mémoricide : De l'impossible vérité aux enjeux de la juste mémoire
- Le mémoricide ou l'impossible victimisation
- Le mémoricide ou l'impossible justice
- L'impossible mémoire objective des faits
Vingt-cinq ans après la publication de son livre, Le Génocide franco-français : la Vendée-Vengé, Reynald Secher, grâce à la découverte aux Archives nationales de documents totalement inédits, démontre, preuves à l'appui, que le génocide de la Vendée a bien été conçu, voté et mis en œuvre personnellement par les membres du Comité de salut public et par la Convention, et que l'armée et l'administration n'ont fait qu'exécuter les ordres.
Afin d'échapper à leurs responsabilités et de masquer la logique idéologique et politique qui menait inéluctablement la République jacobine au génocide, ces criminels et leurs héritiers politiques ont nié les faits, imposé à la nation leur auto-amnistie et une impunité générale.
Ils ont ainsi perpétré un second crime, celui de mémoricide, qui, par un renversement pervers, a désigné les victimes vendéennes comme bourreaux et transformé les bourreaux jacobins en victimes.
A ce premier scandale s'en est ajouté un second : ces bourreaux ont bénéficié de toutes les faveurs et des honneurs de l'Etat, tandis que les victimes et leurs descendants, traumatisés, ont été réduits au silence et en permanence persécutés, se retrouvant ainsi exclus d'une citoyenneté qui leur revenait de droit.
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Fiche technique
- Collection
- Politique
- Parution
- Octobre 2011
- Nombre de pages ou Durée
- 444
- Hauteur
- 21.5
- Largeur
- 13.5
- Épaisseur
- 2.6
- Poids
- 0.586 kg
- ISBN
- 9782204095808