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Préface de Jean-François Mattéi
L’ouvrage livre une autre façon de voir l’homme : chacun des faux prophètes se voit opposé un adversaire : Pascal pour Voltaire, Nietzsche pour Rousseau, Kierkegaard pour Marx et Heidegger pour Freud. Il faut donc aujourd’hui se libérer des faux prophètes et des illusions dont ils nous ont intoxiqués. L’auteur propose de suivre plutôt le chemin des philosophies existentielles plus proches de la réalité humaine, plus respectueuses des individus dans leurs différences et leurs identités et ouvertes à la transcendance et au mystère de notre existence, afin d’échapper à la dictature de l’utilitarisme et du matérialisme.
Au sommaire :
- - LES FAUX PROPHETES, VRAIS SEDUCTEURS
- - VOLTAIRE, ANTICHRETIEN ET ANTISEMITE
- - EN CONTREPOINT A VOLTAIRE : PASCAL OU L'HOMME FACE AU DIVIN
- - ROUSSEAU OU L'OBSESSION DE L'EGALITE
- - NIETZSCHE CONTRE ROUSSEAU, LA " CANAILLE IDEALISTE ! "
- - MARX ET LE SOCIALISME
- - KIERKEGAARD FACE A MARX : LA REHABILITATION DE L'INDIVIDU
- - FREUD ET LA REVOLUTION DES ANNEES SOIXANTE EN OCCIDENT
- - HEIDEGGER FACE A FREUD : L'HOMME EST-IL PLUS QU'UN ANIMAL ?
- - L'AVENIR DES FAUX PROPHETES ET COMMENT S'EN LIBERER !
Tout le monde connaît la chanson de Gavroche : "je suis tombé par terre, c’est la faute à Voltaire, le nez dans le ruisseau, c’est la faute à Rousseau".
Pour l’auteur, Voltaire, Rousseau, mais aussi Marx et Freud nous ont entraînés sur de mauvais chemins. Ce sont de faux prophètes qui ont cru libérer l’humanité et qui ont déchaîné des forces de destruction, d’où les guerres révolutionnaires, la Terreur, les totalitarismes, la dissolution des valeurs morales après Mai 68.
Pourquoi ont-ils eu tant de succès ? Parce que ce sont des séducteurs qui ont fait croire aux hommes qu’ils allaient réaliser leurs plus chers désirs. Pas besoin de Dieu, vous êtes Dieu grâce à votre raison, dit Voltaire. Pas besoin de roi, vous êtes vous-mêmes roi grâce à la démocratie, dit Rousseau. Pas besoin de patrons, vous serez tous riches et tous patrons grâce au communisme, fait croire Marx.
Pas besoin de morale, soyons tous des Don Juan grâce à la révolution sexuelle, suggèrent Freud et surtout ses disciples. En fait, tous avaient une vision de l’homme comme étant essentiellement un animal. Animal certes doué de raison, mais animal tout de même, dans son essence. Freud déclare dans "Malaise dans la culture" : "l’homme est un être à l’intelligence faible, qui est dominé par ses souhaits pulsionnels".
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