Jean Ousset, fondateur de La Cité Catholique,
rendait son âme à Dieu le 20 avril 1994.
C'est de la rencontre de Jean Ousset et de l'abbé Choulot, que va naître cette œuvre vouée à un rayonnement mondial : la Cité catholique, sa revue Verbe, puis l'Oeuvre civique... et la revue Permanence. Puis Ichtus et Civitas.
En 1944 Jean Ousset suit une retraite selon les Exercices de Saint-Ignace de Loyola prêchée par le Père Vallet. C' est une révélation :"L'homme est créé pour louer, honorer et servir Dieu et ainsi sauver son âme. Toutes les choses qui sont sur la terre sont créées à cause de l'homme pour l'aider dans la poursuite de la fin que Dieu lui a marquée en le créant ". Ainsi, la politique et les institutions sont des moyens pour aider l'homme sur terre dans la poursuite de la fin surnaturelle à laquelle il est destiné. Les Exercices spirituels de Saint Ignace seront pour les fondateurs de La Cité catholique une école de vie sociale et politique .
Toute sa vie, ce grand homme se consacra à redonner aux laïcs catholiques la pleine mesure de leurs responsabilités et de leurs pouvoirs au sein de la société.
Des mots, des idées : Se former - Agir - Constituer un réseau - Le combat culturel, ...
Jean Ousset a écrit sous plusieurs pseudonymes : Jean Marial, André Roche, Louis Morteau, Jean-Marie Vaissière, Jacques Régnier et Jacques Haissy.
Deux célèbres titres fondamentaux, toujours étudiés en cercle ou "cellule".
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POUR QU'IL REGNE
Sommaire :
I. Le Christ-Roi,
II. Les oppositions à la royauté sociale de Notre-Seigneur Jésus-Christ,
III. Nos raisons de croire au triomphe de la royauté sociale de Notre-Seigneur Jésus-Christ,
IV. Pagaille dans l'Eglise ou mystère de la Croix.
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FONDEMENTS DE LA CITE
Préface de
Jacques Trémolet de Villers
Y a-t-il une vérité en politique ?
Telle est la question à laquelle l'auteur, fondateur et directeur de la Cité catholique, mort en 1994, entreprend de répondre dans ce livre de formation civique. "
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Dans la tourmente actuelle, que faire ?
Jean Ousset nous répond :
Ce que firent Véronique et le Cyrénéen au passage du Maître couvert de sang, de poussière, de crachats, de vomissures avinées (c’est l’Écriture qui le dit. Elle n’a pas peur des mots) ; la couronne d’épines ceignant ses cheveux d’une glu rouge ; le visage tuméfié ; titubant sous la croix ; rudoyé par la soldatesque ; conspué par le peuple ; condamné par les docteurs, prêtres et théologiens du temps.
Et donc pour nous le devoir est clair.
D’abord ne pas avoir peur, nous moquer des sarcasmes ; ne pas déserter. Fendre les rangs de la foule. Avancer résolument vers Jésus. Rester fermes dans la foi.
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