De nombreuses illustrations en noir et blanc in-texte.
En écrivant ces pages après le désastre de 1870 -désastre pour la France, mais aussi pour l'Eglise avec l'invasion des Etats pontificaux -, Hervé-Bazin voulait montrer ces triomphes éclatants de l'Eglise, qui furent aussi des triomphes pour la civilisation, et qui s'appelèrent les journées du Pont Milvius, de Tolbiac, de Poitiers, de Pavie, de Jérusalem, de Las Navas, de Grenade, de Lépante, de Vienne, de Petervardein.Il pensant que de tels spectacles étaient de nature à faire aimer l'Eglise et aussi à relever les courages abattus.
Le style se ressent de cette pensée maîtresse de l'œuvre. Il est alerte et vibrant. Il a ce cachet oratoire dont Hervé-Bazin, orateur par nature, ne pouvait se défaire en écrivant. Un livre de cette sorte demandait de l'enthousiasme, de la chaleur, je ne sais quoi d'abondant et de coulant à la fois, comme une onde de fleuve. Tout cela s'y trouve, et par-dessus tout la double leçon que l'auteur y voulait mettre : l'amour reconnaissant pour l'Eglise, et le sentiment raisonné de l'espérance.
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Fiche technique
- Parution
- 2015
- Nombre de pages ou Durée
- 240
- Hauteur
- 22
- Largeur
- 15.5
- ISBN
- 9791094912027