** Site en cours de mise à jour **
Yvon Tranvouez - Plus vite, plus haut, plus fort - Le père Didon inspirateur des jeux olympiques
search
  • Yvon Tranvouez - Plus vite, plus haut, plus fort - Le père Didon inspirateur des jeux olympiques
  • Yvon Tranvouez - Plus vite, plus haut, plus fort - Le père Didon inspirateur des jeux olympiques
  • Yvon Tranvouez - Plus vite, plus haut, plus fort - Le père Didon inspirateur des jeux olympiques
  • Yvon Tranvouez - Plus vite, plus haut, plus fort - Le père Didon inspirateur des jeux olympiques
  • Yvon Tranvouez - Plus vite, plus haut, plus fort - Le père Didon inspirateur des jeux olympiques

Yvon Tranvouez

Plus vite, plus haut, plus fort - Le père Didon inspirateur des jeux olympiques

29,00 €
TTC
Quantité
Produit disponible à la commande

CLAVES : lire l'article en entier

   « Plus vite, plus haut, plus fort » (citius, altius, fortius), la devise choisie en 1894 par Pierre de Coubertin pour le Comité International Olympique (CIO), récemment augmentée du mot « communiter », est due à son ami, le père Henri Didon, dominicain.  Qui est le « père » des Jeux Olympiques (JO), le prêtre qui fit le voyage d’Athènes en 1896 pour la première édition et qui prêcha lors de la première « messe olympique » ? 

   Spécialiste d’histoire religieuse, Yvon Tranvouez profite des Jeux de Paris 2024 pour publier « Plus vite, plus haut, plus fort », sa biographie du père Henri Didon. L’idée de l’ouvrage n’est pas née de la proximité des rencontres sportives mais d’une providentielle découverte dans les rayons de la boutique « Emmaüs » de Brest : un inédit de souvenirs composé par une des proches du révérend dominicain (la marquise Gabrielle de Saint-Vincent-Brassac), augmenté de lettres manuscrites.

   On n’y trouvera donc que relativement peu d’éléments sur le lien entre Didon et Coubertin, le mouvement olympique ou la fondation du CIO, le portrait dressé est plutôt général, axé en particulier sur ce que révèlent les correspondances (disponibles) et les écrits de Didon, ainsi que sur les témoignages et mentions extérieures. Le thème du sport ne s’y trouve finalement qu’à une place mineure. 

   « Plus vite, plus haut, plus fort » : la devise des Jeux olympiques, c’est au père Henri Didon qu’on la doit. Le dominicain l’imagine, en mars 1891, pour l’Association de sports athlétiques qu’il vient de fonder. Le jeune Pierre de Coubertin, qui lui a suggéré cette création, reprend la formule à l’occasion du premier Congrès international olympique réuni à Paris. C’est ainsi que celui qui est un prédicateur renommé va rester dans l’histoire. Son attention au sport s’inscrit dans la logique d’une vie dominée par la volonté de réconcilier le catholicisme et la société moderne.

   Libéral, républicain et démocrate, attentif aux nouvelles méthodes d’éducation, curieux de littérature et passionné de science, auteur d’une vie de Jésus qui fut un grand succès de librairie et d’une correspondance avec des femmes modernes et brillantes, le père Didon est le témoin passionnant des mutations et des tensions qui ont ébranlé le catholicisme français dans la deuxième moitié du XIXe siècle.

  

Yvon Tranvouez

Fiche technique

Reliure
Broché
Parution
2024
Nombre de pages
344
Hauteur
24
Largeur
15.5
Poids
0.560 kg
ISBN
978220415546

Vous aimerez aussi