- Rupture de stock
Les révolutions épargnent toujours les banquiers.
… sur la question de la monnaie, Marx est un réactionnaire ; et à notre immense surprise, il en était bien un.
Ayez à l’esprit l’étoile à cinq pointes comme la soviétique, mais cette étoile qui brille sur toute l’Europe, l’étoile composée des cinq frères Rothschild, avec leur banque, qui possède une colossale accumulation de richesses, la plus grande jamais connue jusque-là … Ainsi, ce fait, si colossal qu’il égara l’imagination des gens à l’époque, Marx ne le remarque pas. Voilà qui est bien étrange … Non ?
Il se peut que de cet étrange aveuglement de Marx naisse un phénomène qui est commun à toutes les futures révolutions sociales.
Voici le fait : tous, nous pouvons confirmer que lorsque les masses prennent le contrôle d’une ville ou d’un pays, elles semblent toujours frappées alors d’une crainte superstitieuse des banques et des banquiers. On a tué les Rois, les généraux, les évêques, les policiers, les prêtres et les autres représentants des classes privilégiées haïes ;
on a dévalisé et incendié les palais, les églises, et même les temples de la science, mais en dépit du fait que les révolutions étaient sociales, les vies des banquiers furent respectées par elles, et leur résultat fut que les magnifiques édifices des banques restèrent intacts.
Les Rothschild n’étaient pas les trésoriers, mais les chefs de ce premier Communisme secret. Cette opinion repose sur le fait bien connu que Marx et les plus hauts dirigeants de la Ière Internationale étaient sous la direction du Baron Lionel de Rothschild…
Cette opinion repose sur le fait bien connu que Marx et les plus hauts dirigeants de la Ière Internationale étaient sous la direction du Baron Lionel de Rothschild…
Fiche technique
- Reliure
- Broché
- Parution
- Août 2015
- Nombre de pages ou Durée
- 162
- Hauteur
- 20.2 cm
- Largeur
- 12.5 cm
- Épaisseur
- 0.9 cm
- Poids
- 0.18Kg
- ISBN
- 9781910220559