Traduit de l'allemand et préfacé par Laurent Glauzy.
Au sommaire :
- Préface
- Les Super-Loges derrière l'unification de l'Europe
- L'assassinat de Kennedy et la théorie du complot
- L'abolition rampante de la "démocratie"
- Les Super-Loges et la symbolique secrète
- Les Super-Loges et la globalisation : Poursuite de l'ouverture du marché chinois - liquidation de l'Urss - Accélération de l'intégration européenne - La réunification allemande - Mise en fonction des présidents des Etats-Unis - Détermination des futurs chefs de gouvernement britanniques - Détermination des chefs d'Etat français - Fin de l'opération Condor
Un cahier de 12 pages de documents et photos en couleurs, hors-texte et de nombreux documents in-texte, en noir et blanc.
« Dans le cinquième tome des Super-loges, Gioele Magaldi, qui ne put occuper, en 2014, la fonction de Grand-Maître du Grand-Orient d’Italie contrairement à ce qui était prévu, procéda à un grand nombre de révélations sur ce monde occulte.
Il expose que le projet européen provient des hauts rangs de la franc-maçonnerie internationale et ultrasecrète, à partir du XIXe s. Il mentionne trois noms qui sont les instigateurs du projet des « États-Unis d’Europe » : Victor Hugo, les Illuminati Giuseppe Mazzini et Giuseppe Garibaldi, qui furent tous des membres fondateurs de la « Thomas Paine », la plus ancienne des super-loges. Il n’y a pas de hasard !
Mais, la première « évocation paneuropéenne » est mentionnée dès le XVIIIe s. par des « francs-maçons comme Montesquieu, l’esclavagiste Voltaire, et par des penseurs ayant dessiné le premier projet d’une paix durable en Europe, à l’instar de l’abbé franc-maçon Charles-Irénée Castel de Saint-Pierre et Emmanuel Kant. Un échange épistolaire entre les francs-maçons George Washington et Gilbert du Motier de La Fayette, tous deux constructeurs des États-Unis d’Amérique, atteste que l’on parlait expressément des « États-Unis d’Europe ».
En 1938, dans Hommage à la Catalogne et en 1944 dans La ferme des animaux, George Orwell dénonce le totalitarisme du communisme, et à partir de 1947 place au centre de ses critiques le projet de l’unification de l’Europe (mutation du communisme) derrière lequel se cache l’Euro-atlantiste Kalergi à la solde des Rockefeller et de leur clique, à travers des signes avant-coureurs anti-démocratiques. Aujourd’hui, nous pouvons écrire que le « mensonge du Coronavirus » est bien une conséquence des plans dictatoriaux supra-maçonniques.
Giscard d’Estaing, qui était le conseiller secret de Mitterrand, participa évidemment à ce projet de dictature européenne et perdit en 1981, comme les maîtres des super-loges l’avaient décidé, face à Mitterrand. Les frères de la supra-maçonnerie organisèrent ensuite la cohabitation en 1986, toujours dans le cadre du projet européen, avec Chirac.
Ces trois chefs d’État étaient membres des super-loges, ainsi que leur chef d’orchestre Attali, qui organisa le pillage économique de la Russie sous l’« ère Eltsine ».
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Fiche technique
- Reliure
- Broché
- Parution
- Octobre 2021
- Nombre de pages
- 151
- Hauteur
- 21
- Largeur
- 15
- Épaisseur
- 1,5 cm
- Poids
- 0.20Kg
- ISBN
- 9782492050039