Après avoir retracé les principaux épisodes de cette période révolutionnaire et ses dessous maçonniques et communistes, Léon de Poncins entame le récit chronologique de l’intervention militaire qui débute avec le soulèvement nationaliste au Maroc...
Nouvelle édition à partir de celle des éditions Brossard 1932.
- Le sommaire détaillé est en photo.
MEDIAS PRESSE INFOS 26 octobre 2019
Alors que la gauche espagnole a obtenu la profanation de la sépulture du Général Franco jeudi dernier, il est bon de s’informer de ce que fut réellement la guerre d’Espagne. Il convient notamment d’en savoir plus sur ce que furent la révolution espagnole et ses atrocités pour comprendre l’impérieuse nécessité de l’intervention de l’armée espagnole. Voilà pourquoi le livre Histoire secrète de la révolution espagnole de Léon de Poncins, récemment réédité par les éditions Saint-Rémi, est une lecture qui s’impose en ces temps de confusion.
Le Vicomte Léon de Poncins (1897 – 1975) était un journaliste et essayiste catholique français de l’école contre-révolutionnaire. Léon de Poncins collabora à de nombreux journaux dont Le Figaro, Le Jour, L’Ami du peuple et Le Nouvelliste; et dirigea la revue Contre-Révolution de 1937 à 1939. Plus tard, on le retrouva dans Lectures françaises. Il fut également l’auteur à succès de plusieurs livres dans lesquels il explique le rôle des sociétés secrètes dans la plupart des grands bouleversements politiques et révolutionnaires de la modernité.
Avec le livre Histoire secrète de la révolution espagnole, Léon de Poncins examine minutieusement ces années trente en Espagne : la chute du général Primo de Rivera, le complot maçonnique de Jaca, les élections d’avril 1931 qui portent la franc-maçonnerie au pouvoir, le départ du roi Alphonse XIII, la proclamation de la République, le début des persécutions religieuses, le retour de la droite au pouvoir en 1933, la révolution des Asturies en 1934, l’instabilité parlementaire, la pénétration communiste, la victoire électorale du Front Populaire en février 1936, la plongée du pays dans le chaos, la vague de terrorisme, les églises incendiées, l’assassinat de Calvo Sotelo,..
Après avoir retracé ainsi les principaux épisodes de cette période révolutionnaire et ses dessous maçonniques et communistes, Léon de Poncins entame le récit chronologique de l’intervention militaire qui débute avec le soulèvement nationaliste au Maroc. Le général Sanjurjo, qui s’envole de Lisbonne pour prendre le commandement des opérations, meurt dans le crash de son avion. C’est alors au général Franco, gouverneur des Canaries, de prendre le commandement du soulèvement militaire.
"En 1933, deux ans avant qu'un seul "volontaire" allemand ou italien ait apparu dans les rangs de l'armée de Franco, alors qu'une Constitution républicaine fonctionnait normalement et qu'un parlementaire radical gouvernait l'Espagne, un État étranger intervient dans la péninsule ibérique ; fournit, avec "soixante-dix caisses d'armes, des tanks et des auto-mitrailleuses" ; ce même État étranger- fort cupide, on le verra - dresse un plan, dont le texte est connu ; envoie des agents. "Sans Moscou, en effet, l'Espagne rouge n'aurait pas existé."
Dès l'ouverture des hostilités, Largo Caballero (communiste et Franc-maçon) conclut un traité secret d'alliance avec l'ambassadeur juif des Soviets, Rosenberg. Les Juifs M. Nelken et J. Neumann, Bela Kun (le "tueur de la Hongrie") sont délégués à Madrid comme "Conseillers" Moscou ne cachait même pas son jeu. Il existait depuis longtemps, dans un musée de la capitale de l'U.R.S.S., une salle consacrée à la future révolution communiste espagnole (v. Yvon Delbos : L'expérience rouge, pp. 185 et 186. Paris, 1933).
" Espagnol ! - avertissait le roi - on violera ta femme, on tuera ton père, on séquestrera ta fille, on t'arrachera le pain et le vêtement, on t'assassinera dans le dos ; et l'Europe épouvantée se lèvera pour voir l'Espagne disparaître du rang de la civilisation. Voyons aujourd'hui que ce mot s'applique, ô combien ! à toute nation au bord d'émeutes révolutionnaires.
"En une année 3800 grèves, 73 églises détruites dans les Asturies ; un prêtre, cloué sur l'étal d'une boucherie de Barcelonne, avec un écriteau : "cochon à vendre". Le trésor royal, qui se fondait sur 2 800 tonnes d'or au temps d'Alphonse XIII, n'en comptera plus que 800 tonnes en 1936, les bolcheviques ayant exigé que les fourniture d'armes fussent payées en monnaie d'or ; c'est la bonne vieille alliance du capitalisme et du communisme visant à accaparer toutes les richesses de la planète.
Or ajoutait le roi : "Comptons en Espagne 5000 politiciens, peut-être 6000, contre 20 millions d'Espagnols qui rejettent le parlementarisme révolutionnaire, faut-il donc sacrifier vingt millions d'hommes pour fournir une rente à 6000 hommes nuisibles ?"
Vint alors Fr. Franco, parti des Canaries. Il allait persuader l'Espagne qu'elle n'était pas morte.
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Fiche technique
- Reliure
- Broché
- Parution
- octobre 2019
- Nombre de pages
- 276
- Hauteur
- 21
- Largeur
- 14.5
- Épaisseur
- 1.8
- Poids
- 0.352
- ISBN
- 9782845194892
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