L'histoire humaine est composée substantiellement par deux courants de pensées auxquels tous les autres se ramènent comme des mutations accidentelles : La Tradition catholique, appelée Cabale vraie et la Gnose, la cabale fausse et impure
Articles tirés de la revue Sodalitium.
Au sommaire :
- Foi, morale et rites de la religion juive.
- La condamnation à mort de Jérusalem
- La question du Messie
- Les Toledoth Jeshu : L'anti-Evangile juif
- La Cavale
- Rapports entre judaïsme et Franc-maçonnerie
- L'homicide rituel
- Encore sur l'homicide rituel
- Lettres ouvertes ax juifs pour leur conversion
- La vie du R.P. Pio Edgardo Mortara, juif et converti
- Le problème des Marranes
- Infiltrations judéo-maçonniques dans l'Eglise romaine
- Le complot judéo-maçonnique contre l'Eglise romaine
- Jean XXIII et les juifs : Jules Isaac, (de l'abbé François Ricossa)
- Jean XXIII et les juifs, suite, : de Jules Isaac à Nostra Aetate, (de l'abbé François Ricossa)
- Christianisme et Judaïsme." L'ancienne alliance jamais révoquée"
- Contre-Révolution et judéo-maçonnerie
- Aspects contemporains du judaïsme : mondialisme, ploutocratie, franc-maçonnerie
- Le grand Kahal : un terrible secret
- Les lois raciales
- Le sionisme : un rêve magnifique ou un terrible fiasco ?
- Conclusion de l'introduction à la question juive :" Vous avez le diable pour Père !"
L'histoire humaine est composée substantiellement par deux courants de penée auxquels tous les autres se ramènent comme des mutations accidentelles.
La première est la Tradition catholique, révélée par Dieu à Adam, aux patriarches et à Moïse, conservée et transmise par l'ancienne Synagogue mosaïque, -vraie Eglise de Dieu dans l'Ancien testament- et appelée même Cabale vraie car non pervertie par les Rabbins et les Pharisiens. La seconde est la cabale fausse et impure ou Gnose, qui prend son origine de la vraie et pure cabale (ou Tradition catholique), et qui a été pervertie ensuite par la méchanceté de l’homme tenté par Lucifer ; le “Non serviam” et" l’Eritis sicut dii” constituent en effet le coeur de la Gnose ou fausse cabale.
La Tradition catholique se fonde sur l’être, sur ce qui est immuable, sur l’acte. La fausse cabale au contraire, se fonde sur le devenir, sur le changement, sur l’évolution et sur le mythe du progrès à l’infini : Dieu n’est donc pas, mais Il devient ou se fait. De ceci naît l'opposition “per diametrum” des deux modes de vie : celui catholique, qui est contemplatif, par lequel l’homme au moyen de l’intelligence et de la volonté cherche à connaître et à aimer Dieu, et celui cabalistico-gnostique, qui est surtout magique, pratique et technique.
Le monde actuel, presque complètement cabalisé, a rendu l’homme esclave et “mécanique”, seulement capable d’agir, de faire, de s’affairer pour produire, et tout à fait incapable de contempler avec amour l’Acte pur (qui, comme nous le rappelle Notre-Seigneur dans l’Évangile, est “l’unique chose nécessaire”, à laquelle il faut subordonner chaque activité pratique, qui si elle ne doit pas être méprisée, ne doit pas non plus avoir la primauté dans la hiérarchie des valeurs de la vie humaine). Avec la fausse cabale (rabbinicopharisaïque) la créature (comme déjà Lucifer) a la prétention de se faire égale à Dieu par son propre effort et au moyen d’une technique (gnosis). Ce n’est pas Dieu qui sauve gratuitement, par sa pure miséricorde, mais c’est l’homme qui est le perfectionnement et le point oméga vers lequel “dieu” tend de façon panthéiste.
La fausse cabale se fonde sur les trois concupiscences : l’amour désordonné des plaisirs sensibles, des biens périssables et matériels, et de nous-mêmes. La Tradition catholique au contraire se fonde sur l’esprit des Conseils évangéliques : l’amour de la souffrance, le détachement des biens de ce monde et le mépris de nous-mêmes en acceptant nos propres limites, pour être attirés par Dieu à participer de sa vie intime et divine d’une manière finie, comme il convient à une créature, au moyen de la grâce sanctifiante qui est “semen gloriae”.
St Augustin nous enseigne que “La Cité de Satan est formée de ceux qui s’aiment eux-mêmes jusqu’au mépris de Dieu ; la Cité de Dieu au contraire de ceux qui par amour pour Dieu se méprisent eux-mêmes”. Il nous reste à choisir : de quelle cité voulons-nous faire partie ? À quelle Tradition voulons-nous adhérer, à la luciférienne ou à la chrétienne ?
Fiche technique
- Reliure
- Broché
- Parution
- 2019
- Nombre de pages ou Durée
- 160
- Nombre de pages
- 528
- Hauteur
- 23
- Largeur
- 15
- Épaisseur
- 3
- ISBN
- 9781912452248