Les règles de la bienséance et de la civilité chrétienne à l'usage des écoles chrétiennes

FEMME A PART, janvier 2024

MEDIAS PRESSE INFO, Laure Macaire, septembre 2023 : lire l'article en entier

   Le 15 mai 1950, le pape Pie XII déclare saint Jean-Baptiste de La Salle « Patron de tous les éducateurs ». L’éducation passionne saint Jean-Baptiste de La Salle. Il ouvre des écoles gratuites, des écoles professionnelles, des maisons d’éducation, forme les professeurs, crée un séminaire … Ainsi se forme le noyau du futur Institut des Frères des Ecoles chrétiennes, voué à l’instruction et à l’éducation des enfants des milieux populaires.

   Cet ouvrage, Les Règles de la bienséance et de la civilité chrétienne est l’un des ouvrages le plus travaillé par Saint Jean-Baptiste de La Salle, disent ses biographes, Blain et Maillefer. C’est un livre aux multiples rééditions, reprises par des “anonymes”, mais la marque de l’auteur est là.

    Découvrez la sagesse intemporelle des Règles de la bienséance chrétienne de Saint Jean Baptiste de la Salle. Ce livre remarquable, constitue la référence ultime en la matière, véritable chef-d’œuvre et succès de libraire en son temps, il offre des conseils inestimables sur l’importance et la pratique des bonnes manières.

    Cet ouvrage est celui que le saint homme a le plus travaillé, il nous y dévoile les codes et les usages qui doivent nous gouverner dans nos rapports avec le prochain, non pour y développer un esprit mondain et superficiel, mais au contraire pour nous obliger à considérer le prochain avec charité et bienveillance.

    Le Saint nous y découvre cette charité en action que se doivent de posséder plus que les autres, les chrétiens, dans leurs tenues, leur maintien, et leurs manières d’agir.

    Avec les règles de la bienséance chrétienne, laissez-vous guider par les enseignements de ce saint homme pour apprendre à affiner votre conduite au quotidien.

   “C’est une chose surprenante que la plupart des chrétiens ne regardent la bienséance et la civilité que comme une qualité purement humaine et mondaine et que, ne pensant pas à élever leur esprit plus haut, ils ne la considèrent pas comme une vertu qui a rapport à Dieu, au prochain et à nous-mêmes.”