Préface d'Anne Weber,
Traduit de l'anglais par Isabelle Rivière.
MEDIAS PRESSE INFO, Fabien Laurent : lire l'article en entier
Chesterton s’adresse d’abord à l’homme de la rue qui admirait volontiers celui qu’il croit être le véritable François si l’Eglise n’en avait pas fait un saint. Son merveilleux portrait rend évident que la seule vision cohérente et vraie du Poverello est celle qui le montre comme l’un des plus purs miroirs du Christ qui ait jamais marché sur cette terre. Il permet aussi aux catholiques de s’approcher plus près du coeur de celui qui ne fut rien d’autre que gratitude envers le Créateur. Il leur apprend à mieux connaître et savourer les dons divins que l’esprit franciscain offre au monde aujourd’hui comme hier – dont nous avons plus que jamais besoin.
"Le premier point à comprendre sur saint François, cherchons-le dans le point de départ de son histoire ; comprendre que, lorsqu'il a dit dès le début qu'il était un troubadour, et plus tard qu'il était le troubadour d'une plus neuve et plus noble romance, ce n'était pas là pure métaphore, mais qu'il se comprenait beaucoup mieux lui-même que ne le comprennent les érudits.
Il fut, jusqu'aux dernières angoisses de l'ascétisme, un troubadour. Il fut un amoureux. Il fut un amoureux de Dieu ; et il fut réellement et véritablement un amoureux des hommes ; ce qui est peut-être une vocation mystique beaucoup plus rare"
Chesterton - Le problème de saint François, 1923.
Fiche technique
- Reliure
- Couverture souple avec rabats
- Parution
- 2016
- Nombre de pages ou Durée
- 240
- Hauteur
- 17
- Largeur
- 12
- ISBN
- 9782358731034