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Préface de François Cochet.
Que n’a-t-on écrit sur Maxime Weygand (1867-1965) ? Ayant joué un rôle majeur lors des deux guerres mondiales, c’est l’un des plus célèbres généraux français. Partisan de l’armistice en 1940 et refusant de se rallier à De Gaulle,...
Grâce à de nouvelles archives, Max Schiavon nous livre aujourd’hui la biographie la plus aboutie d’un des mythes de l’histoire militaire de la France au XXe siècle.
Un cahier de photos in-texte, en noir et blanc de 8 pages.
L'HOMME NOUVEAU, janvier 2019, Philippe Maxence : A LIRE ABSOLUMENT !
Ce fut l'un des plus grands généraux de l'armée française. Bras droit de Foch pendant la Première Guerre mondiale, le général M. Weygand eut le courage de prendre la tête de l'armée française quand la partie était perdue au début du second conflit mondial. Le coeur serré, il fut de ceux qui pensaient qu'un armistice était nécessaire... avant de reprendre le combat dans de meilleurs conditions. A ce titre, il soutint la politique du Maréchal Pétain et reconstruisit l'armée d'Afrique qui apporta le plus fort contingent de Français dans l'effort de guerre aux côtés des Alliés.
Arrêté par la Gestapo en 1942, déporté il sera néanmoins emprisonné à la Libération et, à sa mort De Gaulle ira jusqu'à refuser les Invalides à sa famille pour sa messe d'inhumation. Grand serviteur de la France Weygand fut aussi un grand catholique, président de l'association des Amis de Jeanne d'Arc et proche de la la Cité Catholique de Jean Ousset. La biographie de Max Schiavon réhabilité cette très grande figure de serviteur et conclut clairement : "N'en déplaise à beaucoup, adeptes des procès d'intention et ancrés dans leurs certitudes, le général Weygand compte parmi les plus grands chefs militaires français du XX° siècle.
Que n’a-t-on écrit sur Maxime Weygand (1867-1965) ?
Ayant joué un rôle majeur lors des deux guerres mondiales, c’est l’un des plus célèbres généraux français. Partisan de l’armistice en 1940 et refusant de se rallier à de Gaulle, il est accusé de haute trahison en 1945.
Max Schiavon dresse aujourd’hui le vivant portrait de cette figure militaire et politique aussi admirée que controversée. Né à Bruxelles de parents inconnus, les origines de Weygand sont nimbées de mystères : il aurait été en réalité l’enfant naturel du roi des Belges, Léopold II, ou de l’empereur du Mexique Maximilien, voire de Charlotte, son épouse. Brillant officier de cavalerie, il devient le bras droit de Foch durant la Première Guerre mondiale, puis arrête l’Armée rouge qui envahit la Pologne en 1920.
Chef de l’armée de 1931 à 1935, il accélère la motorisation et crée la première division blindée au monde. En mai 1940, aux heures les plus sombres, Paul Reynaud le nomme commandant en chef de l’armée en remplacement de Gamelin limogé. Ne parvenant pas à redresser la situation, il prône l’armistice. Ministre de la Défense nationale, puis Délégué général du gouvernement en Afrique, il prépare secrètement la reprise du combat. Arrêté par la Gestapo en novembre 1942 et déporté, il est placé en détention à la Libération mais bénéficie d’un non-lieu en 1948. Membre de l’Académie française, Weygand meurt presque centenaire.
Une foule immense vient lui rendre hommage lors de ses obsèques.
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Fiche technique
- Reliure
- Broché
- Parution
- Novembre 2018
- Nombre de pages
- 592
- Hauteur
- 23
- Largeur
- 16.5
- Épaisseur
- 3
- ISBN
- 9791021014480
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