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Préface de Florian Rouanet.
Au sommaire :
- Préface - Avant-propos
- Préambule : Le fasciste, un homme de Coeur
- Métaphysique et théologie
- De l'identité objective entre réel et pensée, et entre pensée et langage
- De la notion de réflexion ontologique
- Du rapport entre nature et grâce : démarche, dialectique
- Du rapport entre nature et grâce (suite et fin) : démarche analytique
- Morale et politique
- De la conséquence politique du rapport entre nature et grâce
- De la nature du Bien commun politique
- Le fascisme et les catholiques
- De la démocratie : politique et démocratie
- De la démocratie (suite) : fondements philosophiques de la démocratie moderne
- De la démocratie (suite et fin) : les vices chroniques de la démocratie
- Du personnalisme politique : analyse d'un point de vue thomiste et catholique
- De la violence et de sa légitimité
- Considérations sur la nature rapport entre l'homme et la femme
- Postambule : De la nécessité de tendre vers un idéal
- Bibliographie.
Nous sommes catholique, et nous sommes fasciste. Mais surtout, nous sommes catholique et fasciste. Le « et » est ici le plus important. Car, si nous concevons l’ordre naturel et l’ordre surnaturel comme deux ordres réellement distincts, nous ne les comprenons cependant pas comme deux ordres séparés. De sorte que notre fascisme n’a d’autre raison suffisante que notre catholicisme. Tout se tient, car le réel est un ; notre pensée prend la forme d’un système, car le réel est lui-même systématique.
Aussi, c’est parce que nous croyons que l’Idée s’identifie objectivement au réel que nous tenons la réflexion ontologique pour vraie ; c’est parce que nous admettons la réflexion ontologique que nous croyons en la possibilité d’une vision naturelle de l’essence divine ; c’est parce que nous croyons en la possibilité d’une telle vision que nous sommes catholique, et que nous estimons la valeur de l’ordre naturel, contre tout modernisme et tout surnaturalisme ; c’est parce que nous estimons la valeur de l’ordre naturel que nous considérons la poursuite du Bien commun politique comme une nécessité ; c’est parce que nous considérons la poursuite du Bien commun comme une nécessité que nous sommes fasciste, et que nous nous opposons à toute forme de démocratie et au personnalisme ; enfin, c’est parce que nous sommes fasciste que nous admettons une forme de violence naturelle et bonne, et que nous croyons conjointement en la nécessité — tout en demeurant réaliste — de poursuivre un idéal.
Un idéal supérieur pour lequel « il faudra que des centaines, des milliers d’hommes vivent […], consentant pour lui, à l’avance, tous les sacrifices, toutes les humiliations, tous les héroïsmes. L’heure vient où, pour sauver le monde, il faudra la poignée de héros et de saints qui feront la Reconquête » (Léon Degrelle).
Puisse ce travail contribuer — à son humble niveau — à la Reconquête des intelligences, qui est la première de toutes.
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Fiche technique
- Reliure
- Broché, couverture souple
- Parution
- Septembre 2019
- Nombre de pages
- 168
- Hauteur
- 23
- Largeur
- 13
- ISBN
- 9781912853120