Le jour d'après

   Ayant entre les mains des éléments d'information fiables, recoupés, glaçants, Philippe de Villiers a décidé de prendre la plume pour alerter les Français, en espérant contribuer ainsi à l'insurrection des consciences.

Au sommaire :

• Apologue 
• L'envers du décor
• Ce que nous avons vécu a déjà été joué
• "Covid 19, une fenêtre d'opportunité"
• "T'as voir Vesoul et on a vu Davos"
• Le mouchard et le gendarme
• Les derniers roulis de l'ancien monde
• Vers le Wibistan
• Les cygnes noirs*Le nouveau tunnel
• L'ordre des khmers verts
• Les deux remises à zéro
• La cancel culture ''à la française''
• La grande chaîne des renoncements
• Le secret ultime de la Réinitialisation
• Le dîner du dévoilement
• Insurrection

RENAISSANCE CATHOLIQUE, Jean-Pierre Maugendre, nov-déc 2021 : 

... [ ] S'est insidieusement mise en place, avec la complicité des puissances médiatiques, financières et politiques une dictature "digital socialiste" implacable et planétaire. C'est à la découverte des coulisses de la mise en place de ce nouveau goulag numérique que nous mène, force documents et référence à l'appui, Philippe de Villiers. Tout avait été joué et simulé lors d'un exercice de préfiguration pandémique organisé le 18 octobre 2019 à New York. Quelques mois plus tard, en juin 2020, paraissait l'ouvrage de Claude Schwab, fondateur et président du forum économique mondial de Davos, intitulé Covid-19, la grande réinitialisation, véritable préfiguration du monde post-covid, en gestation.

   Ce livre n'est ni plus ni moins la feuille de route devant permettre "la fusion de nos identités physique, numérique et biologique." La démonstration de Philippe de Villiers est implacable et glaçante. Petit moment de récréation : dîner présidentiel à l'Elysée mars2019, dîner surréaliste entre l'homme du terroir vendéen et le prince des nuées...

   Ce que nous avons vécu a déjà été joué. À New-York. Lors d’une réunion ou plutôt d’un exercice de simulation d’une pandémie de coronavirus, le 18 octobre 2019 ; tout a été filmé et se trouve sur internet.

   Cela s’est passé plusieurs mois avant la survenance du virus. En réalité, les participants - les géants du capitalisme de surveillance - anticipaient ainsi la catastrophe à venir. Ils avaient voulu un monde d’un seul tenant, sans cloisons. Ils savaient que ce monde-là serait hautement pathogène. Ils le savaient et ils s’y préparaient. Ils attendaient la pandémie et ils la voyaient venir.

   Quand elle survint, ils la saluèrent comme « une fenêtre d’opportunité ».

   Pour les rentiers du numérique et de la Big Tech, ce fut une aubaine. Mais aussi pour les gouvernements qui mirent au ban d’essai l’idée d’une « société disciplinaire ».

Ainsi les élites globalisées ont-elles préparé le jour d’après. Occasion rêvée pour tout changer, changer la société, changer de société. Et imposer enfin leurs codes de désocialisation, leur esthétisme woke, leur idéologie du Bien total. »