Bernard Lugan
Pour répondre aux "décoloniaux", aux islamo-gauchistes et aux terroristes de la Repentance
Sélectionné pour le Prix 2022, des lecteurs de la presse française libre.
SUD RADIO, le 25 mars 2021 : Bernard Lugan était l'invité ce 25 mars d'André Bercoff sur Sud Radio. Il y a présenté son dernier livre : "Pour répondre aux décoloniaux, aux islamo-gauchistes et aux terroristes de la repentance".
PRESENT, Alain Sanders, 23 mars 2021 : lire l'article en entier
Le titre du dernier ouvrage de Bernard Lugan, Pour répondre aux « décoloniaux », aux islamo-gauchistes et aux terroristes de la repentance, est certes un peu long. Mais il a ce mérite et cette qualité de n’oublier personne de l’anti-France. Il répond surtout, point par point et de façon érudite, aux dingueries racialistes dont nous sommes désormais les cibles. Une offensive qui, si elle n’est pas enrayée – et plus : éradiquée – s’avérera mortelle.
MEDIA PRESSE INFO, Laure Macaire, 23 mars 2021 : lire l'article en entier
Un livre indispensable à toute bibliothèque, et dont la lecture affermira notre détermination à ne pas laisser brader la France, notre Histoire et notre honneur !
Au sommaire :
I) Ces trois gauches qui ont enfanté les « décoloniaux »
- - La gauche coloniale et son universalisme dévastateur
- - La gauche tiers-mondiste, son dolorisme, son misérabilisme et son christiano-marxisme
- - La gauche universitaire, ses errances scientifiques et son aveuglement idéologique
II) La francophobie des « décoloniaux », un produit de la gauche « morale »
- - La France et le « pillage » de l’Afrique
- - Le franc CFA, une « danseuse » entretenue, pas une « vache à lait »…
- - La guerre d’Algérie ou l’ethno-masochisme de gauche
III) Le corpus idéologique des « décoloniaux », entre postulats et terrorisme intellectuel
- - La « primauté créatrice » de la « négritude », un transfert psychanalytique valorisant
- - Le courant « décolonial », un racisme noir assumé
- - De la concurrence des mémoires victimaires au cas d’école de Madame le député Obono
IV) Remettre ordre et cohérence dans l’esprit des « décoloniaux »
- - Ce n’est pas la colonisation qui a provoqué la catastrophe africaine, mais la décolonisation
- - Ce n’est pas la France qui a pillé l’Algérie, mais les dirigeants algériens
- - Ce n’est pas l’apartheid qui a ruiné l’Afrique du Sud, mais l’ANC de Nelson Mandela
Un cahier de 8 pages de photos, cartes et documents en couleur, hors-texte.
Alliés à l’islamo-gauchisme, les " décoloniaux " ont entrepris de déconstruire la France au moyen d’un terrorisme médiatique et intellectuel sans précédent. Ce n’est pas de « séparatisme » qu’il s’agit. Ils ne veulent en effet pas faire sécession. Ils bénéficient de tant d’avantages dans cette France qui les accueille, les nourrit, les loge, les soigne, les éduque… et qu’ils haïssent… À l’image d’Hafsa Askar, vice-présidente du syndicat étudiant UNEF, qui, le 15 avril 2019, jour de l’incendie de la cathédrale, a écrit : « Je m’en fiche de Notre-Dame de Paris, car je m’en fiche de l’Histoire de France… Wallah… on s’en balek [traduction : on s’en bat les c…], objectivement, c’est votre délire de petits blancs. »
Leur but est d’invertir la France. Pour ensuite la soumettre en lui imposant des normes raciales, philosophiques, culturelles, sociales, politiques, historiques, alimentaires, vestimentaires, artistiques, sexuelles et religieuses qui, toutes, vont à l’encontre de sa nature profonde.
En pleine déroute intellectuelle, acculés dans l’impasse idéologique des « droits de l’homme », du « vivre ensemble », du « pas d’amalgame » et du sépulcre phraséologique de la « laïcité », les dirigeants français sont désarmés face à cette entreprise de subversion et de conquête, unique dans l’Histoire millénaire de ce pays.
Quant aux indigènes français, sommés de débaptiser leurs rues, de dépouiller leurs musées, de renier leur Histoire, d’abattre leurs statues, et, quasiment, de devoir s’excuser d’exister, ils ont le choix entre la « soumission » et la réaction.
Or, cette dernière passe par la totale remise en question du corpus idéologique dominant, terreau sur lequel se développent et prospèrent les pensées invasives qui veulent faire de la France autre chose que la France…