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Postface de Joseph Mérel, (1924)
Traduction de l'italien par Toledano.
Au sommaire :
- Préface
- Les catholiques dans la vie nationale de l'Italie, du Risorgimento au Fascisme
- La mystique du fascisme
- L'erreur du parti populaire
- Le modernisme de don Sturzo
- Saint thomas d'Aquin et la démocratie
- La liberté de la presse
- La doctrine politique de l'Eglise
- Quelques notes d'histoire
- Fascistes et catholiques
- l'Eglise et l'Etat
- la tradition latine
- pour le peuple et contre la démagogie
- Aphorismes
- Appendice - Posaface - Biographie de l'auteur - La Madonna del Manganello.
Piero Misciattelli, dans cet ouvrage établi paru en 1924, répond aux démocrates-chrétiens italiens adversaires du régime mussolinien et défend une collaboration «pleine et loyale» des catholiques avec le gouvernement fasciste. Au-delà des mesures concrètes prises par le Duce en faveur de l'Église, l'auteur démontre, en s'appuyant sur la philosophie de saint Thomas d'Aquin et les textes du magistère, que fascisme et catholicisme s'accordent parfaitement dans leurs études politiques, sociales et morales. Il affirme le caractère contre-révolutionnaire du fascisme dans lequel il va jusqu'à voir une forme de mysticisme catholique.
Si un tel livre offre un intérêt historique indéniable, son contenu doctrinal mérite plus que jamais encore aujourd'hui encore l'attention des catholiques, les «catholiques» conciliaires, bien entendu, habituels alliés de la révolution, mais également les traditionalistes bien-pensants, eux aussi toujours impératifs à condamner le fascisme, faisant ainsi le jeu du modernisme et du libéralisme qu'ils prétendent combattre.
Le texte de Piero Misciattelli est enrichi dans ce volume d'une postface du philosophe Joseph Mérel.
1715
Fiche technique
- Reliure
- Broché
- Parution
- Septembre 2018
- Nombre de pages
- 156
- Hauteur
- 20
- Largeur
- 13
- ISBN
- 9781912853014