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Douglas Murray - L'étrange suicide de l'Europe
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  • Douglas Murray - L'étrange suicide de l'Europe

Douglas Murray

L'étrange suicide de l'Europe

Immigration, identité, islam

23,00 €
TTC

Traduit de l'anglais par Julien Funnaro.

Révision et adaptation de Anne-Sophie Nogaret et Hubert de Jacquelin.

Ce livre est le récit d'une longue enquête.

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     PHILIPPE CONRAD :

   Ce livre set le récit d'une longue enquête. Depuis la fin des années 60, des vagues migratoires successives touchent de façon continue les pays d'Europe occidentale. Pour en mesurer l'impact tant démographique que culturel, Douglas Murray a voyagé pendant deux ans dans la quasi totalité des pays de l'Union. De Malmö à Lampedusa et de Londres aux îles grecques, il a rencontré et interrogé des migrants, policiers, juges, médecins, responsables politiques et humanitaires. Non seulement le continent change à grande vitesse mais Murray constate partout le même phénomène : en matière migratoire, les responsables européens préfèrent toujours les positions généreuses, compatissantes et ouvertes car elles leur rapportent des bénéfices médiatiques immédiats. Ils savent bien pourtant qu'elles conduisent partout à des problèmes nationaux à long terme. Et comme Murray a pu le constater, ces problèmes commencent à se voir dangereusement.

   D'ici la moitié de ce siècle, il est plus probable que la Chine ressemblera encore à la Chine, l'Inde à l'Inde... mais, au rythme auquel elle change, l'Europe ne pourra plus ressembler à ce qu'elle était il y a juste quelques décennies.

   D. Murray pose donc la question : faut-il faire de l'Europe le seul endroit au monde qui appartienne à tout le monde ? Est-ce la volonté des Peuples et est-ce raisonnable du point de vue "du Bien Commun". Le compte à rebours a commencé.

   LIBERTE POLITIQUE  : Lire l'intégralité de l'article

    Mais ce qui fait l’intérêt de l’ouvrage est le rappel essentiel que la survie d’une civilisation n’est pas d’abord une question comptable, mais spirituelle. Or aujourd’hui l’Europe occidentale n’a à proposer à ses citoyens qu’un ectoplasme de modèle, vide de sens, « une vie inconsistante et superficielle », pour citer Murray. L’Europe de l’ouest a mis fin à la quête de sens qui l’a menée, guidée, aiguillonnée dans sa dynamique d’ouverture au monde au cours des siècles passés. Elle semble se contenter d’un bonheur matérialiste de courte durée ; mais l’aspiration, la quête de sens, enfouie au cœur de l’existence, est toujours là.

   A n’y pas répondre on ne récolte que l’angoisse. « Malgré le fait que nous ayons perdu notre histoire, nous sommes toujours là. Et nous vivons toujours parmi les débris de cette fois. Dans la foule qui se presse à Paris, peu de gens vont à Notre-Dame pour prier, mais l’édifice est toujours là ». C’est justement la confrontation à l’autre qui permet aux peuples de réaliser qu’ils ne peuvent se contenter d’une estime de soi qui s’effondre. « La perte de Dieu ne peut être comblée », la force du fait impose le sursaut.

   THE TIMES  : "Un travail énorme et bouleversant".  Mélanie Phillips

   BOULEVARD VOLTAIRE, MAI 2018

   [...] Pour Douglas Murray, il semble y avoir une prise de conscience des gouvernants et certains faits sont, désormais, mis en avant, alors qu’ils étaient systématiquement étouffés autrefois. Les viols de milliers d’adolescentes non musulmanes par des gangs de Pakistanais sont enfin réprimés et on reconnaît publiquement que 95 % des agressions sexuelles en Suède, en Allemagne ou en Autriche sont commis par des réfugiés.

   La parole est plus libre et ceux qui rejettent l’immigration ont maintenant le droit de s’exprimer. Mais n’est-il pas déjà trop tard ?

   POLEMIA .

    [...] D. Murray évoque « l’étrange mort de l’Europe» Non. Si l’Europe et sa civilisation inégalée sont en grand danger elles ne sont pas encore mortes. L’émergence du populisme, l’élection de D. Trump, le Brexit, la détermination de la Russie à défendre des valeurs traditionnelles et la résistance des pays de Visegrad laissent apparaître un réel espoir. Mais le temps presse et la course contre la montre peut être perdue. André Posokhow Consultant

    Depuis la fin des années soixante, des vagues migratoires successives touchent de façon continue les pays d'Europe occidentale.

   Pour en mesurer l'impact, tant démographique que culturel, Douglas Murray a voyagé pendant deux ans dans la quasi-totalité des pays de l'Union. De Malmö à Lampedusa et de Londres aux îles grecques, il a rencontré et interrogé migrants, policiers, juges, médecins, responsables politiques et humanitaires.

   Non seulement le continent change à grande vitesse mais Murray constate partout le même phénomène : en matière migratoire, les responsables européens préfèrent toujours les positions généreuses, compatissantes et ouvertes car elles leur rapportent des bénéfices médiatiques immédiats. Ils savent bien pourtant qu'elles conduisent, partout, à des problèmes nationaux à long terme. Et comme Murray a pu le constater, ces problèmes commencent à se voir dangereusement.

   D'ici la moitié de ce siècle, il est plus que probable que la Chine ressemblera encore à la Chine, l'Inde à l'Inde... Mais, au rythme auquel elle change, l'Europe ne pourra plus ressembler à ce qu'elle était il y a juste quelques décennies.

   Douglas Murray pose donc la question : faut-il faire de l'Europe le seul endroit au monde qui appartienne à tout le monde ? Est-ce la volonté des Peuples et est-ce raisonnable du point de vue du "bien commun" ?

   Le compte à rebours a commencé.

Douglas Murray

Fiche technique

Reliure
Broché
Parution
Juin 2018
Nombre de pages
544
Hauteur
22
Largeur
14
Épaisseur
3.8
ISBN
9782810008254